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Apprécier votre niveau de récupération

Apprécier votre niveau de récupération

Apprécier votre niveau de récupération

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Enchaîner des séances est extrêmement facile, identifier son niveaux de récupération l’est moins.

Attention aux fausses impressions.

Si la fatigue musculaire est assez évident à percevoir la fatigue du système nerveux autonome l’est beaucoup moins.

C’est ainsi que sans l’on peut insidieusement s’enfoncer progressivement dans un état de fatigue aiguë avec un système nerveux autonome en berne, incapable de réagir comme il le devrait…

Il existe des moyens de percevoir cette fatigue, soit de manière directe par exemple lorsque les pouls montrent très vite à l’entraînement jusqu’à un palier…puis ne décollent pas malgré toute la bonne volonté du monde… 

On peut aussi identifier son niveau de récupération / fatigue résiduelle par d’autres moyens indirects :

La variabilité de la fréquence cardiaque (VFC) 

Aujourd’hui le meilleur moyen pour repérer son niveau de récupération reste la mesure de la variabilité de la FC (par le RMSSD) néanmoins cela nécessite des montres cardio onéreuses… ou l’installation d’application sur votre smartphone avec une ceinture cardio adaptée.

Le test du RUFFIER

Pour ceux et celles qui veulent rester sur “du simple” il reste la possibilité d’exploiter un suivi longitudinal par le test du RUFFIER.

Ces détracteurs me diront que ce test pris isolément n’a pas trop d’intérêt car trop imprécis.

Ils n’ont pas tord mais en lecture longitudinal en comparant les valeurs sur une durée de plusieurs semaines on peut dégager des données intéressantes.

Crédit photo : site : http://thomasfaitdusport.fr/

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