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Séance de conso d’oxygène cinétique de VO2 : Soigner votre récupération

Séance de conso d’oxygène cinétique de VO2 : Soigner votre récupération

Séance de conso d’oxygène cinétique de VO2 : Soigner votre récupération

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Une séance de fractionnés ne se résume pas aux efforts faits pendant les fractionnés.

Il est aussi très important de se concentrer sur ces temps de relâchement/ récupération entre deux fractionnés.

Le couple durée /niveau intensités dans les phases de relâchement entre les fractionnés est à prendre en considération.

Cela est d’autant plus important si l’objectif visé de la séance est le maintien d’un haut niveau d’oxygénation. 

Récupération courtes ou longues ?

Si vous faites des récupérations trop courtes vos puls ne redescendront pas assez et vous ne tiendrez pas un nombre intéressant de fractionnés.

Pourquoi ? 

D’un fractionné à l’autre la dérive cardiaque va très vite monter vers la FC max ; la conséquence sera une très forte accumulation des fameux ions H+ dans les muscles (ce que l’on appelle encore à tord “la charge lactique”…) 

A l’inverse si vous avez des temps de récupération trop longs vos puls vont redescendre trop bas et le fractionné qui suivra le relâchement sera alors réalisé en partie à une fréquence cardiaque trop basse, tout simplement parce qu’il faudra du temps au coeur pour remonter dans les tours. 

D’où l’importance de savoir calibrer ses intensités sur ses temps de récupération !

Un constat 

Souvent je vois sur le plan types de magazines des % ultra précis de VMA comme repère des intensités sur les temps de fractionnés… et souvent rien sur la manière de gérer les temps de relâchement… comme s’ il suffisait juste de couper les gaz pour faire une récup satisfaisante…

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